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Sur ce blog vous pouvez découvrir mes meilleures images prises dans ma région, la Bourgogne. Plus précisément dans le secteur de Dijon et ses alentours. Mes clichés sont orientés par mes passions qui sont: la météorologie, le Mont Blanc vu depuis Dijon, les paysages et aussi l'astronomie.
Bonne découverte!
David
Bonne découverte!
David
Saison hivernale
Petit retour sur mon blog pour délivrer quelques photos de ces derniers temps.. c'est à dire l'hiver. Ce qui n'est pas ma saison préférée loin de là, mais on arrive tout de même à capturer quelques moment sympa. Je précise que les photos sont faites avec mon téléphone, donc la qualité n'est pas franchement au rendez vous.. car même si les téléphones évoluent, le mien en tout cas ne vaut pas un véritable appareil photo.
On commence par une aube ventée mais avec un ciel dégagé. Les Alpes et le Mont Blanc se détachent sur l'horizon, mais leur ombres sont malmenés par les quelques nuages anarchiques. L’émetteur à droite est celui du Mont Afrique.
Une matinée calme mais bien froide de décembre. Depuis les falaises de Baulme la roche, le soleil peine à me réchauffer, tandis que le brouillard se cantonne dans le fond de vallée.
Mi janvier, l'heure est à la cueillette des olives de mon jardin, 700 grammes cette année!
Le mois de janvier, il peut être gris et froid ou bien coloré et plutôt doux, à vous de choisir ce que vous préférez..
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Rendez vous céleste
Mes deux derniers articles ont traités les nuages noctulescents (NLC), puis la comète Neowise. Et bien aujourd'hui, ce sont les deux en même temps !
La veille au soir, j'ai eu cet hypothétique désir de pouvoir photographier la comète dans les lueurs de l'aube, accompagnée par des nuages noctulescents. C'est chose faite ce mercredi 8 juillet, car la position actuelle de la comète est idéale pour avoir la chance de se marier avec des NLC.
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Comète Neowise
Cela fait bien longtemps que j'attends cela, une comète digne de ce nom! Je n'ai que de vagues souvenirs de la célèbre comète Hall-Bopp, qui avait illuminé le ciel en ... 1997 !
Depuis cette grande comète, pas grand chose à se mettre sous la dent. Il y a bien eu la comète McNaught en 2007 mais cette dernière avait surtout émerveillé l'hémisphère sud. Puis j'avais fais un article sur une comète nommée C/2011 L4 Panstarrs en mars 2013, mais elle avait duré seulement quelques jours pour une luminosité un peu limite.
Je ferai peut être et j'espère d'autres photos de cette comète, mais pour l'instant en voici 4 que j'ai sélectionné sur une rapide série de prise de vues.
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Retour en force des NLC !
Cela fait quelques jours, enfin quelques nuits, que je surveille d'un oeil l'apparition des nuages noctulescents (abbréviation NLC). Comme chaque année autour du solstice d'été, ces nuages que l'on trouve habituellement autour des pôles, peuvent être aperçu a des latitudes bien plus basses.
Pour plus d'infos : Nuages noctulescents
Levé par hasard vers 03h40, je regarde vers l'horizon nord et j'aperçois une petite lueur blanchâtre.
Retour glacial
Nouvelle maison, nouveau boulot, me revoici après une longue période d'absence où j'ai manqué de temps pour faire quelques photos. C'est chose faite ce jeudi matin lorsqu'à mon lever je remarque que le brouillard est présent mais sur une faible épaisseur. Je prends rapidement mon appareil photo et file à mes nouveaux points de vue à proximité.
Un peu de rab
Quelques photos que je publie en retard (manque de temps). Encore des clichés orageux, qui illustrent que cette année les orages ne me boudent pas comme ces dernières années.
Festival keraunique
Un bien beau week end orageux comme je n'en ai pas vu depuis longtemps dans le coin! 4 salves orageuses entre samedi midi et dimanche soir. La seule que j'ai pu photographier a eu lieu samedi soir à la tombée de la nuit.
Crack !
Enfin un orage digne de ce nom pour le Dijonnais, et en plus en début de soirée !
Vers la fin d'après midi, un système multi-cellulaire bien orageux remonte du Massif Central en direction de la Bourgogne. La trajectoire est telle que peu de doute subsiste, la Côte d'or va être touchée. Ma seule interrogation résidait sur le maintien ou non de l'activité électrique jusqu'ici.
J’anticipe l'arrivée du front orageux qui faisait bien 50km de largeur en me basant à un point de vue juste au nord de Dijon. Au final, peu d'éclairs visibles avant leur arrivée même sur Dijon. La pluie intense à rendu le spectacle difficile à voir et à photographier.
Vers la fin d'après midi, un système multi-cellulaire bien orageux remonte du Massif Central en direction de la Bourgogne. La trajectoire est telle que peu de doute subsiste, la Côte d'or va être touchée. Ma seule interrogation résidait sur le maintien ou non de l'activité électrique jusqu'ici.
J’anticipe l'arrivée du front orageux qui faisait bien 50km de largeur en me basant à un point de vue juste au nord de Dijon. Au final, peu d'éclairs visibles avant leur arrivée même sur Dijon. La pluie intense à rendu le spectacle difficile à voir et à photographier.
Petite chasse
Samedi instable sur la Côte d'Or, chaud et lourd dès le matin avec un soleil bien généreux. Vers midi le ciel s'assombrit et le tonnerre se fait entendre. J'en profite pour sortir de la ville pour tenter de faire quelques clichés. Résultat, beaucoup de pluie et bien peu d'activité électrique, mais je ne rentre pas complètement bredouille.
Cellule orageuse du soir
Un samedi 13 mai orageux, le dimanche pareil. Un tuba (début de tornade ne touchant pas le sol) a même été observé sur Dijon par de multiples témoins (sauf moi..) ce dimanche midi. Voulant me rattraper, je surveille une cellule orageuse qui approche de la ville en soirée.
Cellule plutôt esthétique, et même suspecte pour les chasseurs d'orages par sa structure qui pourrait bien être super-cellulaire (forme d'orage le plus rare mais le plus violent pouvant engendrer des tornades).
Ce type de cellules est très pluvieux, souvent accompagnées de grêles mais peu d'activité électrique. Voici quelques photos de son passage juste au nord de Dijon.
Cellule plutôt esthétique, et même suspecte pour les chasseurs d'orages par sa structure qui pourrait bien être super-cellulaire (forme d'orage le plus rare mais le plus violent pouvant engendrer des tornades).
Ce type de cellules est très pluvieux, souvent accompagnées de grêles mais peu d'activité électrique. Voici quelques photos de son passage juste au nord de Dijon.
Tout d'abord un cliché en début d'après midi de la cellule orageuse ayant généré un tuba bien esthétique au sud de Dijon quelques heures avant. Son développement vertical est assez imposant.
La cellule du soir, qui arrive de l'Ouest, devant le soleil couchant orangé.
Pas mal de flashs qui éclaire le rideau de pluie, de l'intranuageux.
L'activité électrique augmente subitement en quelques minutes, mais hélas tout est noyé dans le rideau de précipitation.
L'orage tangente Dijon au Nord, les plus intenses précipitations nous évitent.
L'unique coup de foudre que j'ai réussi a capturer.
Après cela la pluie s'est mise à tombée et je n'ai plus rien vu d'intéressant.
Voilà qui termine un bon week end orageux!
Le Ru Blanc
En quête d'un nouvel endroit à explorer, j'avais initialement l'idée de remonter le cours du petit ruisseau le Suzon, en partant de la commune de Val-Suzon, jusqu'à sa source située environ 7km en amont. Mais au milieu de cet itinéraire prévu, j'ai vu cet endroit nommé Ru Blanc sur les cartes. J'ai donc décidé d'aller y jeter un coup d'oeil.
L'endroit est coincé dans un combe étroite, surplombé sur un des côté d'une falaise cachée 100 mètres plus haut. Un petit sentier balisé longe ce fameux Ru Blanc, qui n'est d'autre qu'une petite source qui alimente le Suzon.
Avec les précipitations de ces derniers jours qui auront gonflé son débit, je me dis que c'est le moment idéal pour s'y aventurer.
L'endroit est coincé dans un combe étroite, surplombé sur un des côté d'une falaise cachée 100 mètres plus haut. Un petit sentier balisé longe ce fameux Ru Blanc, qui n'est d'autre qu'une petite source qui alimente le Suzon.
Avec les précipitations de ces derniers jours qui auront gonflé son débit, je me dis que c'est le moment idéal pour s'y aventurer.
Premier orage
Ce jeudi 23 mars 2017 aura été marqué par le premier orage sur Dijon de l'année. Après une journée assez nuageuse mais agréable (17°C), le ciel s'est assombri en fin d'après midi par le sud. A peine rentré du boulot que je braque l'objectif vers le ciel. Quelques clichés qui ont le mérite de donner le top départ de l’année orageuse.
Le ciel se fait menaçant par le sud avec déjà quelques flashs qui illuminent l'horizon.
Le premier impact de l'année est dans la boite.
L'orage s'éloigne déjà par le nord
A noter que l'an dernier le premier orage avait eu lieu le 12 avril 2016.
Vivement les prochains!
Le ciel se fait menaçant par le sud avec déjà quelques flashs qui illuminent l'horizon.
Le premier impact de l'année est dans la boite.
L'orage s'éloigne déjà par le nord
Un dernier impact avant de s'éteindre.
A noter que l'an dernier le premier orage avait eu lieu le 12 avril 2016.
Vivement les prochains!
Prenons de la hauteur
Ces derniers jours, j'ai eu la chance de pouvoir utiliser un drone pour faire quelques images aériennes. Il y a longtemps que j'ai l'envie de (re)découvrir quelques endroits que je connais par coeur ou presque, sous un autre angle. Malgré une météo pas toujours optimale, j'ai tout de même pu faire quelques clichés. Devant les nombreuses possibilités qu'offre la région Dijonnaise, j'ai du faire une sélection de 4 endroits pour cette fois ci. Je tiens d'or et déjà remercier mon neveu pour ce prêt de quelques jours!
Prisons de glace
Depuis maintenant 8 jours, c'est le froid qui s'est installé sur la France. En résulte de fortes gelées matinales, puis des températures qui restent souvent négatives l'après midi malgré un soleil très généreux. Conséquence, le lac Kir de Dijon s'englace petit à petit, chose pas vue depuis 5 ans et la vague de froid de février 2012.
Dernières lumières
Une bonne partie de la France est en proie aux brouillards en ces derniers jours de l'année. Le Dijonnais n'excepte pas à la règle. Il faut s'élever au delà des 600 mètres d'altitude pour trouver un ciel dégagé, et encore c'est très limite.
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Douceur somnitale
Les conditions me paraissent bonnes ce samedi matin pour aller faire une petite escapade dans les hauteurs. Je monte par Plombières les Dijon, direction le Mont Afrique en passant par Corcelles les Monts. -6°C voir -7°C dans la vallée de l'Ouche recouverte d'une chape de brume glaciale. Plus je monte et plus le thermomètre s'adoucit. Arrivé à Corcelles il passe brusquement de -3°C à 2°C en moins de 2 minutes. Sur le Mont Afrique, plus aucune trace de givre, sauf à quelques endroits toujours dans l'ombre la journée. Finalement le thermomètre affiche 5°C, soit 11 de plus que dans la plaine.
L'hiver VS l'automne
Ce début décembre est synonyme de contraste. Un franc soleil qui nous a accompagné durant une dizaine de jours, puis l'arrivée brutale d'un brouillard glacial. Ce vendredi c'était une rude bataille entre les deux. Malgré le soleil, il y des zones plongées dans une ombre perpétuelle, qui ne dégèlent pas depuis plusieurs jours. Petite escapade rapide dans la vallée du Suzon à l'ouest de Dijon.
Tout le long de cette vallée, les zones à l'ombre du relief ne dégèlent pas malgré une température positive l'après midi. Ambiance glaciale garantie à la tombée de la nuit !
En montant sur le relief alentours (580m), on passe dans une atmosphère plus douce et surtout moins humide. Petit couché de soleil depuis les hauteurs de Curtil Saint Seine.
Je tente le Mont Blanc qui reste hélas dans la brume assez épaisse (distance 230km).
Tout le long de cette vallée, les zones à l'ombre du relief ne dégèlent pas malgré une température positive l'après midi. Ambiance glaciale garantie à la tombée de la nuit !
En montant sur le relief alentours (580m), on passe dans une atmosphère plus douce et surtout moins humide. Petit couché de soleil depuis les hauteurs de Curtil Saint Seine.
Je tente le Mont Blanc qui reste hélas dans la brume assez épaisse (distance 230km).
Retour au Moyen Âge
Sur la route des vacances, nous faisons une halte hors du temps. Dans l'extrême sud du département de l'Yonne, à quelques kilomètres de la Nièvre, nous voici sur les Terres du Château de Guédelon.
In extremis
Cela fait trois jours que le thermomètre dépasse les 30°C ce vendredi 24 juin. Une certaine moiteur dans l'air se fait sentir mais les orages peu nombreux restent à l'écart de Dijon. En soirée, l'air est déjà plus frais, le vent est tombé, je remballe le matériel photo. Sur les radar de pluie, je vois que les orages sévissent bien plus au sud, vers Lyon ou Mâcon. J'entends seulement de faibles grondements et quelques lueurs vers 22h30, ça se rapproche, mais le spectacle reste en Saône et loire. Peu après être parti me coucher, j'entends un coup de tonnerre beaucoup plus intense, on se relève!
En fait il n'y a pas véritablement d'orage présents sur Dijon. C'est en réalité les enclumes des cumulo-nimbus qui sévissent bien plus au sud, qui s'étendent jusqu'ici. L'activité électrique se cantonnent alors dans les nuages, mais parfois cette décharge retombe au sol avec violence.
Beaucoup d'intranugeux, mais parfois celui-ci se termine en un impact de foudre très intense qui tombe au hasard, avec un vacarme assourdissant. (j'ai du revoir la luminosité car la partie supérieur était surexposée).
Un dernier intranuageux très intense, qui ne se finira pas en impact hélas.
Deux ou trois impacts explosifs ont sauvés la soirée.
En fait il n'y a pas véritablement d'orage présents sur Dijon. C'est en réalité les enclumes des cumulo-nimbus qui sévissent bien plus au sud, qui s'étendent jusqu'ici. L'activité électrique se cantonnent alors dans les nuages, mais parfois cette décharge retombe au sol avec violence.
Beaucoup d'intranugeux, mais parfois celui-ci se termine en un impact de foudre très intense qui tombe au hasard, avec un vacarme assourdissant. (j'ai du revoir la luminosité car la partie supérieur était surexposée).
Un dernier intranuageux très intense, qui ne se finira pas en impact hélas.
Deux ou trois impacts explosifs ont sauvés la soirée.